La question de la dégradation des conditions de travail avec le sentiment de ras-le-bol s’exprime partout. Elle inclut la problématique des rythmes qui, très souvent, « cristallise » un fort mécontentement et qui se traduit par des mobilisations. Il est donc urgent de dire, que maintenant ça suffit ! et que la priorité affichée au primaire doit se concrétiser dès maintenant par un plus et un mieux d’école. Nous devons porter nos revendications pour une réelle amélioration des conditions de travail (stop aux contrôles tatillons et aux injonctions, du temps supplémentaire de concertation, une reconnaissance du métier…).